L’élection Miss France 2026 approche à grands pas, et déjà, une candidate se retrouve sous le feu des projecteurs. Pas pour sa robe, ni pour son sourire, mais à cause de rumeurs sur son comportement. En plein stage de préparation en Martinique, certains bruits de couloir ont visé Miss Tahiti, accusée d’avoir un peu trop collé à son téléphone. Une affaire qui a fait du bruit sur les réseaux, au point que la principale intéressée a dû prendre la parole pour mettre les choses au clair.
Des tensions en coulisses avant même le grand soir
Le concours Miss France, c’est autant des strass que des règles strictes. Chaque année, les 30 candidates doivent suivre un emploi du temps bien cadré, où le respect des équipes et du règlement fait partie du jeu. Mais cette année, selon Frédéric Gilbert, président de la société Miss France, quelques participantes auraient pris un peu trop leurs aises.
Dans une interview accordée au Parisien, il a expliqué que le comité avait dû « resserrer la vis », notamment après des écarts observés pendant le voyage en Martinique. « Quand on prend un café, on ne laisse pas le gobelet traîner. Et quand le téléphone sonne pendant une activité, on ne répond pas. » Des règles simples, mais essentielles à la bonne entente, dit-il.
Miss Tahiti dans le viseur d’Aqababe
Aucun nom n’a été officiellement cité par le comité, mais sur les réseaux, certains n’ont pas hésité à jouer les détectives. Le blogueur Aqababe, jamais bien loin des potins, a balancé un nom sans détour : Miss Tahiti. Selon lui, la candidate aurait été trop souvent sur son téléphone, au point d’irriter les encadrants. Il parle même d’une « réunion de crise » liée à son attitude. Le souci ? Aucune preuve. Et forcément, ça fait grincer des dents.
Hinaupoko Devèze brise le silence
Face à la montée des critiques, Hinaupoko Devèze, alias Miss Tahiti 2025, a pris la parole dans une story Instagram. Loin de se laisser abattre, elle a répondu avec calme et ironie qu’elle avait adoré son séjour en Martinique, où elle avait mis son téléphone de côté pour vivre pleinement cette expérience unique. Le ton est posé, mais clair : elle réfute totalement les accusations.
Elle poursuit en rappelant qu’elle vit actuellement un rêve, et qu’elle s’investit à 100 % dans cette aventure. « Depuis le premier jour, je donne le meilleur de moi-même, avec respect et bienveillance envers tout le monde, en particulier envers ceux qui m’entourent. » Un message de défense, mais aussi d’apaisement, dans un contexte où les critiques peuvent parfois aller trop loin, trop vite.
Une candidate qui veut rester focus sur l’essentiel
Pour clore sa prise de parole, Hinaupoko en a profité pour rappeler une chose toute simple, mais essentielle : « Derrière chaque écran, il y a un être humain. » Une phrase qui résonne d’autant plus fort à quelques semaines d’une élection où chaque geste est scruté, commenté, parfois détourné.
Reste maintenant à savoir si cette mise au point suffira à calmer les critiques ou si la polémique pèsera sur son parcours jusqu’au 6 décembre.